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Dissidences Pyrénéennes.

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Energies ?

Tout n'est qu'énergie !

Arriver à vivre mieux, c'est avant tout être capable de distinguer les cycles naturels énergétiques.

Il est un temps pour tout et chaque chose doit trouver son juste temps. Si chacun est plus ou moins libre de s'imposer une règle de vie, dés qu'elle ne respecte plus suffisamment le cycle naturel, alors fatigue, maladies, stress, énervement, diminution des capacités cognitives finissent par l'emporter sur le bien être, jusqu'à provoquer les lésions irréversibles, voir la mort !

Dans notre monde de fous, nous sacrifions sans cesse un domaine à l'autre, pressés, poussés à l'urgence, la dépression est au rendez vous de l'incompréhension et du non respect des choses élémentaires et naturelles qui permettent de récupérer assez d'énergie pour franchir chaque étape d'une vie découpée en tranches de saucisson.

Tout est question de rythmes et donc de temps...

S'il est un temps pour se dépenser, il est un temps pour récupérer. Tout dopant ne fera que reculer l'échéance en masquant illusoirement des effets dévastateurs.

Nous devrions bien identifier ces temps pour n'y donner que l'intensité nécessaire et récupérer en conséquence.

Si la journée est le temps de l'activité, la nuit est le temps du repos. Plus l'age s'avance et plus la capacité de récupération diminue parce que les personnes âgées dorment de moins en moins car leur vie manque de plus en plus de repères. C'est physiologique et s'il est difficile de pouvoir dormir ses huit heures durant, les temps de récupération aménagés en dehors de la nuit ne compensent jamais le manque enregistré...

Micro sommeils, siestes, méditation, toutes ces phases complémentaires ne sont que supplétives à une bonne nuit de sommeil !

Lorsque nous nous trouvons dans une période critique nos énergies ne peuvent trouver le juste chemin de leur expression, alors tout commence pernicieusement soit par l’abattement soit par l'énervement qui mène à la violence.

Renoncer à la violence, c'est avant tout replacer chaque chose à sa place et gérer chaque période de la façon la plus naturelle.

Comment peut on être en capacité de maîtriser ses pulsions, ses fatigues si l'on ne construit pas sa vie intelligemment en se donnant des repères précis et facilement identifiables amenant le rappel de l'organisation la plus élémentaire ?

Pourtant, avec toute la bonne volonté, nous ne sommes pas toujours en possibilité d'agir et nous subissons les facteurs extérieurs comme nous le pouvons, du mieux que nous le pouvons...

Les conditions de travail et de vie saucissonnent ce qui n'est qu'une continuité d'un seul être lié par tout ce qui l'entoure, ce qu'il est dans ce qu'il est et ce qu'il fait...

Dans chaque espace défini comme un cercle de vie, il est un centre et une périphérie. Dés que le centre de ces cercles diffère de l'un à l'autre, alors les décalages contribuent au développement de personnalités multiples au sein de l'individu.

Priorité des priorités, définir La priorité !

Il faut savoir se replacer au centre de tous les cercles et plus qu'en individu, y placer la matrice de l'énergie, cet amour de soi source de l'amour de tout ce qui nous entoure.

Le secret réside dans le respect !

Chaque fois que nous ne sommes pas capables de nous respecter individuellement, alors l'énergie que nous consommons et celle que nous produisons viennent perturber nos relations à ce qui nous entoure. Il devient alors impossible de respecter les autres...

L'intelligence, c'est créer des liens entre les choses pour établir de bons rapports, ce qui permet in fine de dégager les mécanismes qui nous gèrent et donc de les utiliser au mieux de nos capacités...

Si nous pouvons gérer ce qui nous est propre, il n'en demeure pas moins que nous pouvons aussi intervenir sur ce qui nous influence de l'extérieur.

Nos conditions de travail sont souvent détériorées par des manipulateurs sans scrupule et qui même de façon inconsciente nuisent parfois par leur seule présence, leur comportement "naturel". Être bon avec le bon, juste avec le juste et retors avec le pervers ne suffisent pas à pouvoir re maîtriser l'espace et le temps qui gèrent l'utilisation et la production de nos énergies.

Plutôt que de produire un conflit interne provenant d'une action extérieure, il faut se dégager de ce qui nous perturbe avant qu'il ne soit trop tard !

Je rappelle ici l'allégorie de la grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite (Olivier Clerc). Lutter seul est souvent vain, c'est pourquoi l'action collective est le seul recours possible sinon la fuite !

Or, s'il existe bien des syndicats, ces derniers sont souvent minés par des manipulateurs détournant à leur profit ce qui relève de l'intérêt général !

Ceci, lorsqu'ils ne sont carrément complices des oppresseurs et ajoutent ou pire multiplient là où ils devraient contribuer à diminuer...

Les syndicats étant souvent trop dépendants matériellement et financièrement des collectivités, la dérive politique n'est jamais bien loin.

L'on voit bien les efforts déployés par les politiques pour détourner la Justice de son indépendance en n'octroyant pas les moyens nécessaires au bon fonctionnement. L'état de délabrement sanitaire et physique des bâtiments en est la preuve récurrente autant que la lenteur inertielle liée également au sabotage de ceux dont le pouvoir centralisé et monopolisé obnubile toute forme de pensée et d'action.

Mais revenons à nos moutons...

Tout n'est qu'énergie, produite ou consommée et si rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme !

Si la lumière surgit de ce que nous appelons le néant et s'en dégage, c'est bien parce que dans cette obscurité de la nuit, les forces peuvent produire la lumière et donc l'énergie...

Donc, rien ne vaut une bonne nuit de sommeil pour récupérer, en fait, pour que tout se réorganise dans la mesure de nos capacités afin de pouvoir utiliser nos potentiels énergétiques au mieux.

Prendre l'énergie de ce qui nous entoure se situe dans la relation à l'extérieur, mais qui ne dépend que de cette ouverture intérieure qui la favorise ou l'empêche.

Il est des bonnes sources énergétiques et de bien mauvaises...

C'est cette porosité qui fait de nous des victimes ou des bénéficiares heureux.

La seule chose qui diffère commence par la prise de conscience que nous sommes conscients et donc en capacité d'évoluer et de modifier nos comportements en développant de nouvelles attitudes, de nouvelles habitudes...

Soit nous nous laissons envahir et subissons, soit nous nous fermons ou rejetons vers ceux qui tentent de nous manipuler leur mauvaise énergie destructrice...

Ou encore, nous pouvons porter d'intérêt qu'à ce qui est intéressant et faisons bien ressentir que le reste ne nous intéresse pas !

L'harmonie des énergies et donc le mieux vivre est à ce prix de la conscience retrouvée. Mais, tout le monde n'en est pas capable, du moins n'est pas toujours bien disposé à cette prise de conscience individuelle et collective. Tout commence par le "connais toi toi même !"... et "deviens ce que tu es !"...

Le centre d'intérêt n'étant pas le même, de l'un à l'autre, les comportements diffèrent et interfèrent de façon parasitaire voir despotique selon la taille de l'ego de chacun...

Chacun émet et reçoit tour à tour et simultanément ses énergies, bonnes ou mauvaises. Ce simple fait nous réduit à l'état d'aimants s'attirant ou se repoussant sans que l'on soit pleinement conscients de ce qui nous arrive. A cela il faut rajouter le fait éducatif reproduisant toute l'imitation puisée dans notre entourage, nos expériences, notre vécu !

Rien n'est simple et gérer sa vie demande non seulement d'être conscient mais de faire l'effort permanent d'agir en conséquence et en fonction de notre centre d'intérêt, du moins de ce que nous plaçons au centre de notre vie !

Naviguer en eaux troubles trouve son équilibre entre la tension de la voile, la sagesse du gouvernail et surtout par un cap bien défini !

Alors, les énergies deviennent convergentes et productrices de progrès !

Là est la clef de tout développement, entre le tenir bon, le lâcher prise et l'évolution !

Le premier, le seul remède valable se trouve en soi par soi même. Le reste ne sont que des ersatz complémentaires qui ne fonctionnent que si l'on évolue vers une unification de son être dans son centre vers sa périphérie, par son centre d'intérêt...

Dormir bien, se nourrir bien, vivre mieux dépendent de ce que l'on est bien pour être mieux !

Nul ne naît pour partager la violence, la subir ou la projeter. Si l'amour est naturel, la haine n'existe que parce qu'on la crée et l'entretient !

Des deux énergies, l'une est bénéfique, unificatrice et l'autre divise et détruit !

Revenir au naturel est cependant un difficile chemin sans repère probant et remémorant l'objectif, le cap. Notre monde est bâti et centré sur la violence et ses repères ne sont que domination et irrespect de ce qui est naturel.

Si l'homme est un prédateur violent, il se doit pour évoluer de se le rappeler sans cesse pour trouver une cohésion dans sa conduite. Renoncer à la violence n'est pas dans sa nature et donc c'est un effort permanent qu'il doit déployer sans cesse pour évoluer vers un naturel mieux maîtrisé, donc une meilleure utilisation de ses énergies !

G.

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